Sans aucune doute, nous devons réaliser les attaques conformes aux exigences de notre ère afin d’accentuer notre présence dans le commerce agricole global. Il faut faire des démarches efficaces comme la numérisation de la production, le sujet populaire de nos jours, la création des nouveaux produits et des réponses rapides aux besoins des clients. Dans ce contexte, nous sommes parfaitement conscients de la nécessité de bâtir une structure qui va permettre la circulation de donnée entre les matières premières, le producteur, les coopératives et les points de vente au détail. Nous visons par conséquent à renforcer notre potentiel en faisant fonctionner le triangle d’or composé de l’état, du secteur industriel et des universités.
En Turquie, au cours des vingt dernières années, les taux d’exportation et d’importation du secteur agricole-alimentaire sont augmentées à peu près de même quantité par rapport à ceux d’autres secteurs. Le succès d’exportation de ce secteur qui n’a pas la possibilité de profiter des avantages provenant de la liberté du commerce accordée aux autres secteurs outre que le secteur agricole-alimentaire, est promettant. Augmentant l’exportation des produits traditionnels comme les fruits, les légumes et les fruits à écale, le secteur a aussi réussi à agrandir à petits pas l’exportation des produits alimentaires traités.
Ayant la foi que ces petits pas deviendront plus grands, nous pouvons affirmer par conséquent que les produits végétaux et animaux non-traités et tous les produits alimentaires, sauf les produits d'aquaculture, décrivent les frontières de notre commerce dans le secteur agricole.
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